Twilight skys and oneiric landscapes where the real appears as spectacle. Charged with cinematic references (Pier Paolo Pasolini: Che cosa sono le nuvole, Ucellacci e uccelini…), these mysterious images refer as much to the history of photography as to the history of painting.
The display themselves as a sort of artificial retinal paradise, in invitation to an exploratory voyage of worlds where, as Brice Matthieussent writes, the gates of the strange open into the real, and living pixels in the sky create the photograph.
Chargées de résonances cinématographiques (Pier Paolo Pasolini : Che cosa sono le nuvole, Ucellacci e uccelini…), ces images mystérieuses nous renvoient tout autant à l’histoire de la photographie qu’a celle de la peinture. Elles s’affichent comme une sorte de paradis artificiel rétinien, une invitation à un voyage exploratoire de mondes où comme l’écrit Brice Matthieussent “ les portails de l’étrange envahissent le réel, et de vivants pixels inventent dans le ciel la photographie.”
« Voici donc une communauté sans chef, sans hiérarchie, une sorte de groupe anarchique. Paradoxe : les figures créées par cet ensemble – comme une chorégraphie en apesanteur réalisée par des milliers de danseurs aux costumes identiques, ou les immenses foules chinoises réunies dans les stades sportifs afin de faire soudain surgir dans les gradins l’image sidérante du grand timonier pour le seul œil de la télévision –, ces figures évoquent un ordre mystérieux, une géométrie inconnue, une sémaphorique criailleuse dont nous autres humains ignorons tout. » Brice Matthieussent